Numéro d’inventaire
Numéro principal : INV 7282
Autre numéro d'inventaire : MR 2321
Autre numéro d'inventaire : MR 2321
Collection
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
description
Dénomination / Titre
Titre : Le Christ et la femme adultère
Description / Décor
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Hauteur : 1,21 m ; Hauteur avec accessoire : 1,45 m ; Largeur : 1,95 m ; Largeur avec accessoire : 2,185 m
Matière et technique
huile sur toile
Lieux et dates
Date de création / fabrication
3e quart du XVIIe siècle (1653)
Données historiques
Historique de l'œuvre
Donné par le Nôtre au roi en 1693. Sujet tiré de la Bible, Evangile de Saint Jean.
Historique:
André Le Nôtre (1613-1700); donné par Le Nôtre à Louis XIV, 1693 ; au magasin à Versailles, 1696 (inventaire Paillet, A.N., O1 19647-21, fol. 3 vo, avec inscrit en marge : Mr Le Nostre); surintendance à Versailles, 1706 (inventaire Bailly, A.N., O1 1970, p. 179); Appartement frais au château-neuf de Meudon, 1709-1710 (cf. Engerand, 1899; la précision de l’emplacement dans l’Appartement frais du château est dans l’inventaire Bailly, A.N., O1 1978B, fol. 277); 5e pièce de la surintendance à Versailles, 1760 (inventaire, A.N., O1 1965-10, fol. 10), 1784 (cf. Castelluccio, 2009) et 1788 (inventaire, AMN, 1 DD 2, fol. 11); transféré au Louvre, septembre 1792 (cf. Tuetey et Guiffrey (Je.), 1909); exposé à l’ouverture du Muséum (Louvre), 1793 (no 322 du cat., cf. Dubreuil, 2001).
Commentaire:
Le tableau a été peint pour le grand jardinier de Louis XIV, André Le Nôtre, en 1653 (cf Félibien (A.), 1666-1688). Il a peut-être constitué le point de départ d’une collection riche de cent cinquante tableaux et qui comprenait également le Moïse sauvé des eaux et le Saint Jean baptisant le peuple de Poussin, aujourd’hui conservés au Louvre (voir INV. 7271 et INV. 7287). Ces trois tableaux ont été donnés au roi en 1693 avec les plus belles œuvres de la collection du jardinier : vingt et un tableaux, vingt-neuf groupes et sculptures de bronze, deux vases en bronze, six gaines et huit bustes de marbre. Lors de son séjour parisien en 1665, le Cavalier Bernin vit la Femme adultère. L’œuvre était alors présentée dans un grand cabinet octogonal éclairé par «un petit dôme en manière de lanterne» dans la maison de Le Nôtre au jardin des Tuileries, devant l’actuel pavillon de Marsan. Mais le Cavalier ne l’apprécia pas. Il déclara à Chantelou le jeudi 8 octobre : «À la vérité, il [Poussin] a fait depuis [les Sept Sacrements] des choses, qui ne sont plus cela ; le tableau de la Femme adultère, cette Vierge allant en Égypte que j’ai vu chez ce marchand et votre Samaritaine (se tournant vers moi) ne sont plus de cette force. Il faudrait qu’un homme sut s’abstenir au-delà d’un certain temps» (cf. Chantelou, éd. 2001). L’œuvre est assurément difficile, d’une beauté presque abstraite. Richard Verdi la plaçait dans le contexte de l’apogée du style raphaélesque de Poussin, la qualifiant d’«intensément raphaélesque» (cf. Verdi, 1995). Tous les auteurs ont souligné la géométrie de la composition, le paysage, quasi cubiste, la variété des mouvements. Les éléments architecturaux ont été mis en place par des incisions dans la couche picturale tirées à la règle. Anthony Blunt juge qu’il s’agit de l’une «des structures les plus complexes de mouvements croisés que l’on puisse trouver dans les peintures de Poussin» (cf. Blunt, 1967). Blunt relève également la position centrale de la femme à l’enfant à l’arrière-plan qui suspend tous les mouvements perspectifs du tableau, l’une des figures les plus émouvantes peintes par Poussin. Verdi identifiait dans cette femme une allégorie de la Charité, qu’il mettait en relation avec la phrase que le Christ dit aux Pharisiens, après que ceux-ci lui eurent amené la femme adultère : «Je ne juge aucun homme» (cf. Verdi, 1995). Nous pensons qu’il s’agit d’une image de la Loi nouvelle incarnée par le Christ, faite de «douceur» et de «longanimité», qualités que saint Augustin cite dans son quinzième traité sur saint Jean d’après le verset 8 du Psaume 24 : «Le Seigneur est plein de douceur et de justice.» En effet, on peut rapprocher cette figure mystérieuse du texte que le Christ a écrit sur le sol : les caractères hébreux sont fautifs et effacés, mais il semble que l’on puisse y reconnaître les premiers versets du Décalogue. Cette inscription sur le sable transcrivant la Loi ancienne concerne les Pharisiens. Elle s’oppose à la jeune femme à l’enfant figurant la Loi nouvelle et vivante : «vous aimerez votre prochain comme vous-même» (Mt, 22, 39). Cette jeune femme si touchante est le contrepoint parfait des Pharisiens accusateurs. Elle procède bien sûr du type de la Vierge à l’Enfant mais aussi de l’allégorie de la Charité, comme l’avait relevé Richard Verdi. Le Christ devait condamner la femme adultère selon la Loi ancienne. Il l’inscrit sur le sol pour condamner non pas la pécheresse, mais les Pharisiens. Ceux-ci lui avaient tendu un piège pour l’obliger à contredire la Loi en ne condamnant pas cette femme à mort. Il leur démontre qu’ils sont eux-mêmes condamnés par leurs nombreux péchés et annonce dans le même temps la Loi nouvelle qui accorde le pardon à ceux qui se repentent. Un dessin préparatoire est conservé au musée Condé à Chantilly (plume et encre brune; 9,7 × 20,2 cm; inv. NI 228 ; cf Rosenberg (P.) et Prat, 1994, I, no 356). Le tableau a été gravé en contrepartie par Girard Audran en 1681 (cf. Wildenstein (G.), 1957b). Il est peint sur une toile assez fine d’armure sergée comprenant 12 × 20 fils au cm2 et sur une double préparation : couche profonde rouge surmontée d’une couche grise (celle-ci peut-être présente uniquement sous les architectures). Il a été rentoilé par François Toussaint Hacquin en 1792-1793 (cf. Massing, 2012). Il a été restauré par Martin de La Porte en 1793, qui précise : « ce tableau a été nettoyé et raccordé dans plusieurs parties» (cf. Tuetey et Guiffrey (Je.), 1909, p. 315). L’œuvre a été restaurée par Jean-Gabriel Goulinat à Montauban en 1941, puis par Lucien Aubert au Louvre en 1960. Une intervention limitée en support et en couche picturale a été menée par Anne Lepage et Jean-Pascal Viala en 2013 (N. Milovanovic, 2021).
Historique:
André Le Nôtre (1613-1700); donné par Le Nôtre à Louis XIV, 1693 ; au magasin à Versailles, 1696 (inventaire Paillet, A.N., O1 19647-21, fol. 3 vo, avec inscrit en marge : Mr Le Nostre); surintendance à Versailles, 1706 (inventaire Bailly, A.N., O1 1970, p. 179); Appartement frais au château-neuf de Meudon, 1709-1710 (cf. Engerand, 1899; la précision de l’emplacement dans l’Appartement frais du château est dans l’inventaire Bailly, A.N., O1 1978B, fol. 277); 5e pièce de la surintendance à Versailles, 1760 (inventaire, A.N., O1 1965-10, fol. 10), 1784 (cf. Castelluccio, 2009) et 1788 (inventaire, AMN, 1 DD 2, fol. 11); transféré au Louvre, septembre 1792 (cf. Tuetey et Guiffrey (Je.), 1909); exposé à l’ouverture du Muséum (Louvre), 1793 (no 322 du cat., cf. Dubreuil, 2001).
Commentaire:
Le tableau a été peint pour le grand jardinier de Louis XIV, André Le Nôtre, en 1653 (cf Félibien (A.), 1666-1688). Il a peut-être constitué le point de départ d’une collection riche de cent cinquante tableaux et qui comprenait également le Moïse sauvé des eaux et le Saint Jean baptisant le peuple de Poussin, aujourd’hui conservés au Louvre (voir INV. 7271 et INV. 7287). Ces trois tableaux ont été donnés au roi en 1693 avec les plus belles œuvres de la collection du jardinier : vingt et un tableaux, vingt-neuf groupes et sculptures de bronze, deux vases en bronze, six gaines et huit bustes de marbre. Lors de son séjour parisien en 1665, le Cavalier Bernin vit la Femme adultère. L’œuvre était alors présentée dans un grand cabinet octogonal éclairé par «un petit dôme en manière de lanterne» dans la maison de Le Nôtre au jardin des Tuileries, devant l’actuel pavillon de Marsan. Mais le Cavalier ne l’apprécia pas. Il déclara à Chantelou le jeudi 8 octobre : «À la vérité, il [Poussin] a fait depuis [les Sept Sacrements] des choses, qui ne sont plus cela ; le tableau de la Femme adultère, cette Vierge allant en Égypte que j’ai vu chez ce marchand et votre Samaritaine (se tournant vers moi) ne sont plus de cette force. Il faudrait qu’un homme sut s’abstenir au-delà d’un certain temps» (cf. Chantelou, éd. 2001). L’œuvre est assurément difficile, d’une beauté presque abstraite. Richard Verdi la plaçait dans le contexte de l’apogée du style raphaélesque de Poussin, la qualifiant d’«intensément raphaélesque» (cf. Verdi, 1995). Tous les auteurs ont souligné la géométrie de la composition, le paysage, quasi cubiste, la variété des mouvements. Les éléments architecturaux ont été mis en place par des incisions dans la couche picturale tirées à la règle. Anthony Blunt juge qu’il s’agit de l’une «des structures les plus complexes de mouvements croisés que l’on puisse trouver dans les peintures de Poussin» (cf. Blunt, 1967). Blunt relève également la position centrale de la femme à l’enfant à l’arrière-plan qui suspend tous les mouvements perspectifs du tableau, l’une des figures les plus émouvantes peintes par Poussin. Verdi identifiait dans cette femme une allégorie de la Charité, qu’il mettait en relation avec la phrase que le Christ dit aux Pharisiens, après que ceux-ci lui eurent amené la femme adultère : «Je ne juge aucun homme» (cf. Verdi, 1995). Nous pensons qu’il s’agit d’une image de la Loi nouvelle incarnée par le Christ, faite de «douceur» et de «longanimité», qualités que saint Augustin cite dans son quinzième traité sur saint Jean d’après le verset 8 du Psaume 24 : «Le Seigneur est plein de douceur et de justice.» En effet, on peut rapprocher cette figure mystérieuse du texte que le Christ a écrit sur le sol : les caractères hébreux sont fautifs et effacés, mais il semble que l’on puisse y reconnaître les premiers versets du Décalogue. Cette inscription sur le sable transcrivant la Loi ancienne concerne les Pharisiens. Elle s’oppose à la jeune femme à l’enfant figurant la Loi nouvelle et vivante : «vous aimerez votre prochain comme vous-même» (Mt, 22, 39). Cette jeune femme si touchante est le contrepoint parfait des Pharisiens accusateurs. Elle procède bien sûr du type de la Vierge à l’Enfant mais aussi de l’allégorie de la Charité, comme l’avait relevé Richard Verdi. Le Christ devait condamner la femme adultère selon la Loi ancienne. Il l’inscrit sur le sol pour condamner non pas la pécheresse, mais les Pharisiens. Ceux-ci lui avaient tendu un piège pour l’obliger à contredire la Loi en ne condamnant pas cette femme à mort. Il leur démontre qu’ils sont eux-mêmes condamnés par leurs nombreux péchés et annonce dans le même temps la Loi nouvelle qui accorde le pardon à ceux qui se repentent. Un dessin préparatoire est conservé au musée Condé à Chantilly (plume et encre brune; 9,7 × 20,2 cm; inv. NI 228 ; cf Rosenberg (P.) et Prat, 1994, I, no 356). Le tableau a été gravé en contrepartie par Girard Audran en 1681 (cf. Wildenstein (G.), 1957b). Il est peint sur une toile assez fine d’armure sergée comprenant 12 × 20 fils au cm2 et sur une double préparation : couche profonde rouge surmontée d’une couche grise (celle-ci peut-être présente uniquement sous les architectures). Il a été rentoilé par François Toussaint Hacquin en 1792-1793 (cf. Massing, 2012). Il a été restauré par Martin de La Porte en 1793, qui précise : « ce tableau a été nettoyé et raccordé dans plusieurs parties» (cf. Tuetey et Guiffrey (Je.), 1909, p. 315). L’œuvre a été restaurée par Jean-Gabriel Goulinat à Montauban en 1941, puis par Lucien Aubert au Louvre en 1960. Une intervention limitée en support et en couche picturale a été menée par Anne Lepage et Jean-Pascal Viala en 2013 (N. Milovanovic, 2021).
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Mode d’acquisition
entrée - Collection de Louis XIV
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Peintures
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
Richelieu, [Peint] Salle 826 - Nicolas Poussin (1594-1665) : entre Rome et Paris
Index
Mode d'acquisition
Bibliographie
- Marandet (François), Louis Galloche (1670-1761) : Un peintre de "poesie" au XVIIIe siècle, Milan, Silvana Editoriale, 2023., p. 86
- Milovanovic, Nicolas ; Szanto, Mickaël ; Virassamynaïken, Ludmila, sous la direction scientifique de, Poussin & l'amour et Picasso / Poussin / Bacchanales, cat. exp. Musée des Beaux-Arts de Lyon 26/11 au 05/03/2023. Lyon, Paris, Musée des Beaux-Arts et In Fine éditions d'art, 2022., p. 76
- Milovanovic, Nicolas, Peintures françaises du XVIIe du musée du Louvre, Editions Gallimard / Musée du Louvre Editions, 2021, p. 189-190, ill. coul., n°414
- Lemoine, Annick ; Christiansen, Keith (dir.), Valentin de Boulogne. Réinventer Caravage, cat. exp. (Paris, musée du Louvre, 22 février-22 mai 2017), Paris, Musée du Louvre/Officina Libraria, 2017, p. 124
- Lemoine, Annick ; Christiansen, Keith (dir.), Valentin de Boulogne: Beyond Caravaggio, cat. exp. (New-York, The Metropolitan Museum of Art, 7 octobre 2016 - 16 janvier 2017), New Haven, Yale University Press, 2016, p. 111
- Szanto, Mickaël ; Milovanovic, Nicolas (dir.), Poussin et Dieu, cat. exp. (Paris, musée du Louvre, 30 mars - 29 juin 2015), Paris, Hazan/ Louvre éditions, 2015, p. 396-398, 59, 81, 135, 330-331, 373, 394, 414, fig. 32, cat. 82
- Bonfait, Olivier, Poussin et Louis XIV: Peinture et Monarchie dans la France du Grand Siècle, Paris, Hazan, 2015, p. 63, 123, 180
- Font-Réaulx, Dominique de (dir.), Delacroix et l'Antique, cat. exp. (Paris, Musée national Eugène Delacroix, du 9 décembre 2015 au 7 mars 2016), Paris, Louvre Editions/Le Passage, 2015, p. 61, fig. 30
- Rosenberg, Pierre, Nicolas Poussin : les tableaux du Louvre, Paris, Louvre éditions/ Somogy, 2015, p. 276-283, coul., n° 32
- Bouchenot-Déchin, Patricia ; Farhat, Georges (dir.), André Le Nôtre en perspectives, cat. exp. (Versailles (France), Château-Domaine national de Versailles, 22 octobre 2013-23 février 2014), Paris, Hazan, p. 81, 82-83, 384
- Massing, Ann, Painting Restoration Before La Restauration: The Origins of the Profession in France, Cambridge, Harvey Miller Publishers, 2012, p. 104-105
- Castelluccio, Stéphane, « Le Cabinet des tableaux de la Surintendance des Bâtiments du Roi à Versailles », Versalia, n°12, 2009, p. 21-54, p. 44, note 19 p. 44
- Dubreuil, Marie-Martine, « Le Catalogue du Muséum Français (Louvre) en 1793 », Bulletin de la Société de l’histoire de l’art français, Année 2001, 2002, p. 125-165, n°322
- Nicolas Poussin (1594-1665), cat. exp. (Royal Academy of Arts, Londres, Royaume-Uni - 19 janvier - 09 avril 1995), Royal Academy of Arts, Londres, 1995, n°76
- Rosenberg, Pierre ; Prat, Louis-Antoine, Nicolas Poussin 1594-1665 : catalogue raisonné des dessins, 2 tomes, Milan, Leonardo Editore, 1994, n°356
- Compin, Isabelle ; Roquebert, Anne, Catalogue sommaire illustré des peintures du musée du Louvre et du musée d'Orsay. IV. Ecole française, L-Z, Paris, R.M.N., 1986, p. 142, ill. n&b
- Compin, Isabelle ; Reynaud, Nicole ; Rosenberg, Pierre, Musée du Louvre. Catalogue illustré des peintures. Ecole française. XVIIe et XVIIIe siècles : II, M-Z, Paris, Musées nationaux, 1974, p. 64, 212, fig. 679, n° 679
- Compin, Isabelle ; Reynaud, Nicole, Catalogue des peintures du musée du Louvre. I, Ecole française, Paris, R.M.N., 1972, p. 301
- Blunt, Anthony, Nicolas Poussin, 2 vol., New York, Pantheon Books, 1967, p. 259-260
- Brière, Gaston, Musée national du Louvre. Catalogue des peintures exposées dans les galeries. I.Ecole française, Paris, Musées nationaux, 1924, p. 205, n° 716
- Tuetey, Alexandre ; Guiffrey, Jean, La commission du Muséum et la création du musée du Louvre (1792-1793)- Documents recueillis et annotés par Alexandre Tuetey et Jean Guiffrey, Inventaire des Objets contenus dans le Museum et dans les dépôts sous la surveillance des gardiens du Museum, 5 novembre-3 décembre 1793, Paris, Jean Schemit, (Archives de l'art français, recueil de documents inédits publiés par la Société de l'histoire de l'art français. Nouvelle période, t. III), 1909, p. 16, 315
- Engerand, Fernand ; Bailly, Nicolas, Inventaire des tableaux du Roy rédigé en 1709 et 1710, Inventaires des collections de la Couronne, Paris, Ernest Leroux, 1899, p. 305
- Rosenberg, Pierre, « Poussin and God », The Burlington Magazine, 157, 1349, 2015, août, p. 561-563, p. 563
Expositions
- Poussin et Dieu, Napoléon, Exposition Temporaire sous pyramide, 30/03/2015 - 29/06/2015
- André Le Nôtre en perspectives (1613- 2013), Versailles (France), Château - Domaine national de Versailles, 22/10/2013 - 24/02/2014
- Poussin, Londres (Royaume Uni), Royal Academy of Arts, 19/01/1995 - 13/04/1995, étape d'une exposition itinérante
- Poussin, Paris (France), Galeries nationales du Grand Palais, 27/09/1994 - 02/01/1995, étape d'une exposition itinérante
Dernière mise à jour le 08.06.2023
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
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