Numéro d’inventaire
Numéro principal : INV 7292
Autre numéro d'inventaire : MR 2334
Autre numéro d'inventaire : MR 2334
Collection
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
description
Dénomination / Titre
Titre : Le jeune Pyrrhus sauvé
Description / Décor
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Hauteur : 1,16 m ; Hauteur avec accessoire : 1,53 m ; Largeur : 1,6 m ; Largeur avec accessoire : 2 m
Matière et technique
huile sur toile
Lieux et dates
Date de création / fabrication
2e quart du XVIIe siècle (1634)
Données historiques
Historique de l'œuvre
Collection de l'abbé Giovanni Maria Roscioli (1609-1644), chancelier d'Urbain VIII, qui en fit l'achat en 1634. Coll de Louis XIV (acquis du duc de Richelieu en 1665). Sujet tiré de la "Vie de Pyrrhus" de Plutarque
Historique:
Abbé Giovanni Maria Roscioli (1604-1644), chancelier d’Urbain VIII, 1634 (cf. Barroero, 1979, et Corradini, 1979). – Armand Jean de Vignerot du Plessis, duc de Richelieu (1629-1715) ; acquis de ce dernier pour Louis XIV, 1665 (cf [1664-1715] éd. 1881-1901 ; inventaire Le Brun, no 168, cf. Brejon de Lavergnée (A.), 1987a) ; dessus-de-porte de la salle du Conseil de l’Appartement du roi au château de Versailles, 1695 (inventaire Paillet, A.N., O1 19647-18 : « Chambre du Conseil / 168. La fuitte de Pirus du Poussain ») ; demeure en place durant la plus grande partie du xviiie siècle : il y est mentionné en 1787 (inventaire Durameau, fol. 94) et en 1794 (A.M.N., 1 DD 5, fol. 12D) ; inventorié dans les appartements du château de Versailles après avoir été retiré du dessus-de-porte de la salle du Conseil, 1797 (cf. Cantarel-Besson, 1992) ; musée spécial de l’École française au château de Versailles, avant 1801 (no 186 du Catalogue de l’an X) ; transféré dans la galerie d’Apollon du château de Saint-Cloud, 1802-1803 (cf. Meyer (D.), 1969) ; transféré au Louvre, 1810 (A.M.N., *P12, fol. 43 : 11 mars 1810) ; présenté au musée Napoléon en 1810 (Notice, 1810, no 69).
Commentaire:
Poussin semble avoir été le premier à traiter ce sujet tiré de la Vie de Pyrrhus de Plutarque. L’artiste a représenté les débuts dramatiques d’une destinée illustre. Pyrrhus a été l’un des chefs de guerre les plus réputés de l’Antiquité. Hannibal le plaçait au deuxième rang, juste derrière Alexandre le Grand (Plutarque, Vie de Flamininus). Pyrrhus était le fils d’Éacide, roi d’Épire, qui avait été vaincu et tué par les Molossiens. Poussin le représente à l’âge de deux ans, ignorant qu’il court un danger mortel. Il est porté par ses fidèles, qui tentent de le sauver alors qu’il est poursuivi par les assassins de son père. Son destin se joue à quelques instants près, tandis que ses ennemis sont sur le point de le rejoindre, à droite, et que ses partisans trouvent le moyen d’appeler à l’aide les habitants de Mégare, par-delà le tumulte du fleuve, en attachant leurs messages à des pierres et des javelots (Plutarque cite l’un ou l’autre moyen, Poussin représente les deux). Pour la figure de l’homme lançant le message à gauche, Poussin s’est inspiré du Gladiateur Borghèse (musée du Louvre). Les deux autres personnages centraux reprennent son mouvement diagonal, donnant ainsi une dynamique très forte à la composition. Poussin s’est conformé au précepte du Traité de la peinture de Léonard de Vinci recommandant de répéter le même geste pour donner une plus grande puissance plastique. Les deux personnages principaux ont été dessinés dans des poses légèrement différentes dans une feuille illustrant le manuscrit du Traité de Léonard, à la demande de Cassiano dal Pozzo. Un détail du tableau a certainement la valeur d’une clef de lecture du sujet : le pelte, petit bouclier en forme de croissant, qui est orné d’une figure de femme sans bras et sans jambes, visible dans l’angle inférieur droit de la composition. Il constitue une image parlante de l’impuissance absolue qui était celle de Pyrrhus enfant, entièrement soumis à son entourage. Henry Keazor a montré que Poussin s’est inspiré pour ce pelte d’une gravure de Pietro Nobili d’après Polydore de Caravage montrant différents modèles de trophées (cf. Keazor, 1998). Poussin a représenté au second plan un terme de Mercure. Il semble que l’artiste se soit inspiré d’une gravure des Images des dieux de Vincenzo Cartari montrant un terme de Mercure, le drapé sur l’épaule, coiffé du pétase, dont le buste émerge d’une base fine qui va s’évasant vers le haut (Cartari, [1578] éd. 1996, p. 289). Cartari a décrit les termes de Mercure en rapprochant la stabilité de leur forme de la Vertu et de la Raison, opposées à la Fortune : « étant dessus une base carrée : car celui qui suit la Vertu ne se laisse pas offenser à Fortune » (Cartari, [1578] éd. 1996, p. 290). Poussin aurait ainsi mis en scène l’opposition traditionnelle entre Raison et Fortune. Il s’agit ici de la Raison divine, c’est-à-dire de la Providence, qui préside à tous les destins particuliers.
Le geste de Mercure, désignant le ciel de la main, peut être compris comme une allusion à cette Providence qui émane du ciel, qui règne sur le monde et qu’il ne faut pas confondre avec la Fortune. La Fortune est représentée dans l’atmosphère orageuse de la scène, le ciel chargé de nuages noirs, le vent violent qui agite les arbres au second plan. Le geste de Mercure donne un éclairage singulier à la scène : l’issue du drame qui se joue est connue. Le destin de Pyrrhus est écrit. Le spectateur doit observer avec sérénité l’agitation des personnages et le tumulte des flots. Il nous semble donc que la leçon du Pyrrhus annonce celle du Pyrame et Thisbé de Francfort à vingt années d’intervalle : les hommes interprètent le désordre du monde comme le règne de la Fortune ; seul le sage sait discerner la tranquillité divine dissimulée derrière cette agitation apparente et y conformer ses passions. Dans l’Antiquité, la vie de Pyrrhus était la source de nombreuses leçons philosophiques, morales et religieuses. La destinée de Pyrrhus a continué de fasciner Poussin puisque l’artiste a projeté de peindre un autre sujet tiré de sa vie, vingt ans après avoir peint le Pyrrhus sauvé. Ce projet est connu par deux dessins préparatoires (Pyrrhus enfant aux pieds de Glaucias ; plume et encre brune ; 17,4 × 18,0 cm ; musée municipal du Mont-de-Piété à Bergues ; inv. 730 ; cf. Rosenberg (P.) et Prat, 1994, I, no 359 ; et Pyrrhus enfant à la cour de Glaucias ; pierre noire ; 19,5 × 30,2 cm ; localisation inconnue ; cf. Rosenberg (P.) et Prat, 1994, I, no 357). Ils montrent l’épisode suivant dans le récit de Plutarque : Pyrrhus est amené à la cour de Glaucias, le roi d’Illyrie ; mais celui-ci hésite à le prendre sous sa protection car il craint les représailles du roi de Macédoine, Cassandre. Tandis que le souverain réfléchit, Pyrrhus s’approche de lui et se redresse, dans une position de suppliant, en prenant appui sur les jambes du roi. Ce geste de l’enfant fait rire Glaucias, qui décide alors de le sauver et de l’éduquer comme son propre fils. Précisons pour finir que le Pyrrhus sauvé est mentionné dans l’inventaire de Giovanni Maria Roscioli retrouvé par Liliana Barroero et Sandro Corradini en 1979. L’abbé Roscioli était un proche collaborateur des Barberini. Le tableau a été acquis par Roscioli en 1634. Il a probablement été peint la même année ou l’année précédente, mais on ignore si c’était lui-même. Le tableau appartint ensuite au duc de Richelieu, qui le vendit à Louis XIV en 1665. Un dessin préparatoire d’ensemble, qui a fait partie de la collection du cardinal Massimo Massimi, est conservé dans les collections royales anglaises à Windsor (plume et encre brune, lavis brun sur sanguine ; 21,5 × 34,3 cm ; inv. 11909 ; cf. Rosenberg (P.) et Prat, 1994, I, no 76). Le tableau a été gravé en contrepartie par Girard Audran en 1674 et par Guillaume Chasteau en 1676 (cf. Wildenstein (G.), 1957b). L’oeuvre a été peinte sur une toile d’armure sergée comprenant 13 × 20 fils au cm2 et sur une couche d’impression brune. Le tableau a été rentoilé par Raymond Lepage en 1956. Il a été restauré en couche picturale par Pierre Paulet en 1957 (N. Milovanovic, 2021).
Historique:
Abbé Giovanni Maria Roscioli (1604-1644), chancelier d’Urbain VIII, 1634 (cf. Barroero, 1979, et Corradini, 1979). – Armand Jean de Vignerot du Plessis, duc de Richelieu (1629-1715) ; acquis de ce dernier pour Louis XIV, 1665 (cf [1664-1715] éd. 1881-1901 ; inventaire Le Brun, no 168, cf. Brejon de Lavergnée (A.), 1987a) ; dessus-de-porte de la salle du Conseil de l’Appartement du roi au château de Versailles, 1695 (inventaire Paillet, A.N., O1 19647-18 : « Chambre du Conseil / 168. La fuitte de Pirus du Poussain ») ; demeure en place durant la plus grande partie du xviiie siècle : il y est mentionné en 1787 (inventaire Durameau, fol. 94) et en 1794 (A.M.N., 1 DD 5, fol. 12D) ; inventorié dans les appartements du château de Versailles après avoir été retiré du dessus-de-porte de la salle du Conseil, 1797 (cf. Cantarel-Besson, 1992) ; musée spécial de l’École française au château de Versailles, avant 1801 (no 186 du Catalogue de l’an X) ; transféré dans la galerie d’Apollon du château de Saint-Cloud, 1802-1803 (cf. Meyer (D.), 1969) ; transféré au Louvre, 1810 (A.M.N., *P12, fol. 43 : 11 mars 1810) ; présenté au musée Napoléon en 1810 (Notice, 1810, no 69).
Commentaire:
Poussin semble avoir été le premier à traiter ce sujet tiré de la Vie de Pyrrhus de Plutarque. L’artiste a représenté les débuts dramatiques d’une destinée illustre. Pyrrhus a été l’un des chefs de guerre les plus réputés de l’Antiquité. Hannibal le plaçait au deuxième rang, juste derrière Alexandre le Grand (Plutarque, Vie de Flamininus). Pyrrhus était le fils d’Éacide, roi d’Épire, qui avait été vaincu et tué par les Molossiens. Poussin le représente à l’âge de deux ans, ignorant qu’il court un danger mortel. Il est porté par ses fidèles, qui tentent de le sauver alors qu’il est poursuivi par les assassins de son père. Son destin se joue à quelques instants près, tandis que ses ennemis sont sur le point de le rejoindre, à droite, et que ses partisans trouvent le moyen d’appeler à l’aide les habitants de Mégare, par-delà le tumulte du fleuve, en attachant leurs messages à des pierres et des javelots (Plutarque cite l’un ou l’autre moyen, Poussin représente les deux). Pour la figure de l’homme lançant le message à gauche, Poussin s’est inspiré du Gladiateur Borghèse (musée du Louvre). Les deux autres personnages centraux reprennent son mouvement diagonal, donnant ainsi une dynamique très forte à la composition. Poussin s’est conformé au précepte du Traité de la peinture de Léonard de Vinci recommandant de répéter le même geste pour donner une plus grande puissance plastique. Les deux personnages principaux ont été dessinés dans des poses légèrement différentes dans une feuille illustrant le manuscrit du Traité de Léonard, à la demande de Cassiano dal Pozzo. Un détail du tableau a certainement la valeur d’une clef de lecture du sujet : le pelte, petit bouclier en forme de croissant, qui est orné d’une figure de femme sans bras et sans jambes, visible dans l’angle inférieur droit de la composition. Il constitue une image parlante de l’impuissance absolue qui était celle de Pyrrhus enfant, entièrement soumis à son entourage. Henry Keazor a montré que Poussin s’est inspiré pour ce pelte d’une gravure de Pietro Nobili d’après Polydore de Caravage montrant différents modèles de trophées (cf. Keazor, 1998). Poussin a représenté au second plan un terme de Mercure. Il semble que l’artiste se soit inspiré d’une gravure des Images des dieux de Vincenzo Cartari montrant un terme de Mercure, le drapé sur l’épaule, coiffé du pétase, dont le buste émerge d’une base fine qui va s’évasant vers le haut (Cartari, [1578] éd. 1996, p. 289). Cartari a décrit les termes de Mercure en rapprochant la stabilité de leur forme de la Vertu et de la Raison, opposées à la Fortune : « étant dessus une base carrée : car celui qui suit la Vertu ne se laisse pas offenser à Fortune » (Cartari, [1578] éd. 1996, p. 290). Poussin aurait ainsi mis en scène l’opposition traditionnelle entre Raison et Fortune. Il s’agit ici de la Raison divine, c’est-à-dire de la Providence, qui préside à tous les destins particuliers.
Le geste de Mercure, désignant le ciel de la main, peut être compris comme une allusion à cette Providence qui émane du ciel, qui règne sur le monde et qu’il ne faut pas confondre avec la Fortune. La Fortune est représentée dans l’atmosphère orageuse de la scène, le ciel chargé de nuages noirs, le vent violent qui agite les arbres au second plan. Le geste de Mercure donne un éclairage singulier à la scène : l’issue du drame qui se joue est connue. Le destin de Pyrrhus est écrit. Le spectateur doit observer avec sérénité l’agitation des personnages et le tumulte des flots. Il nous semble donc que la leçon du Pyrrhus annonce celle du Pyrame et Thisbé de Francfort à vingt années d’intervalle : les hommes interprètent le désordre du monde comme le règne de la Fortune ; seul le sage sait discerner la tranquillité divine dissimulée derrière cette agitation apparente et y conformer ses passions. Dans l’Antiquité, la vie de Pyrrhus était la source de nombreuses leçons philosophiques, morales et religieuses. La destinée de Pyrrhus a continué de fasciner Poussin puisque l’artiste a projeté de peindre un autre sujet tiré de sa vie, vingt ans après avoir peint le Pyrrhus sauvé. Ce projet est connu par deux dessins préparatoires (Pyrrhus enfant aux pieds de Glaucias ; plume et encre brune ; 17,4 × 18,0 cm ; musée municipal du Mont-de-Piété à Bergues ; inv. 730 ; cf. Rosenberg (P.) et Prat, 1994, I, no 359 ; et Pyrrhus enfant à la cour de Glaucias ; pierre noire ; 19,5 × 30,2 cm ; localisation inconnue ; cf. Rosenberg (P.) et Prat, 1994, I, no 357). Ils montrent l’épisode suivant dans le récit de Plutarque : Pyrrhus est amené à la cour de Glaucias, le roi d’Illyrie ; mais celui-ci hésite à le prendre sous sa protection car il craint les représailles du roi de Macédoine, Cassandre. Tandis que le souverain réfléchit, Pyrrhus s’approche de lui et se redresse, dans une position de suppliant, en prenant appui sur les jambes du roi. Ce geste de l’enfant fait rire Glaucias, qui décide alors de le sauver et de l’éduquer comme son propre fils. Précisons pour finir que le Pyrrhus sauvé est mentionné dans l’inventaire de Giovanni Maria Roscioli retrouvé par Liliana Barroero et Sandro Corradini en 1979. L’abbé Roscioli était un proche collaborateur des Barberini. Le tableau a été acquis par Roscioli en 1634. Il a probablement été peint la même année ou l’année précédente, mais on ignore si c’était lui-même. Le tableau appartint ensuite au duc de Richelieu, qui le vendit à Louis XIV en 1665. Un dessin préparatoire d’ensemble, qui a fait partie de la collection du cardinal Massimo Massimi, est conservé dans les collections royales anglaises à Windsor (plume et encre brune, lavis brun sur sanguine ; 21,5 × 34,3 cm ; inv. 11909 ; cf. Rosenberg (P.) et Prat, 1994, I, no 76). Le tableau a été gravé en contrepartie par Girard Audran en 1674 et par Guillaume Chasteau en 1676 (cf. Wildenstein (G.), 1957b). L’oeuvre a été peinte sur une toile d’armure sergée comprenant 13 × 20 fils au cm2 et sur une couche d’impression brune. Le tableau a été rentoilé par Raymond Lepage en 1956. Il a été restauré en couche picturale par Pierre Paulet en 1957 (N. Milovanovic, 2021).
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Roscioli, Giovanni Maria, Propriétaire
Duc Richelieu, Armand Jean de Vignerot du Plessis, duc de, Propriétaire
Louis XIV, roi de France, Propriétaire, 1665
Duc Richelieu, Armand Jean de Vignerot du Plessis, duc de, Propriétaire
Louis XIV, roi de France, Propriétaire, 1665
Mode d’acquisition
entrée - Collection de Louis XIV
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Peintures
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
Richelieu, [Peint] Salle 826 - Nicolas Poussin (1594-1665) : entre Rome et Paris
Index
Mode d'acquisition
Bibliographie
- Milovanovic, Nicolas, Peintures françaises du XVIIe du musée du Louvre, Editions Gallimard / Musée du Louvre Editions, 2021, p. 200-201, ill. coul., n°424
- Germer, Stefan, Art-Pouvoir-Discours. La carrière intellectuelle d'André Félibien dans la France de Louis XIV, vol. 54, Paris, Maison des sciences de l'homme, (Collection Passages/Passagen), 2016, p. 526
- Gady, Bénédicte ; Milovanovic, Nicolas (dir.), Charles Le Brun (1619-1690), cat. exp. (Louvre-Lens, du 18 mai au 29 août 2016), Lens, Lienart / Louvre-Lens, 2016, p. 148
- Szanto, Mickaël ; Milovanovic, Nicolas (dir.), Poussin et Dieu, cat. exp. (Paris, musée du Louvre, 30 mars - 29 juin 2015), Paris, Hazan/ Louvre éditions, 2015, p. 72-75, 300, 304-306, fig. 50, cat. 54
- Bonfait, Olivier, Poussin et Louis XIV: Peinture et Monarchie dans la France du Grand Siècle, Paris, Hazan, 2015, p. 36, 103, 120, 126, 133, 155-156, 249, n° 8 (coul.)
- Rosenberg, Pierre, Nicolas Poussin : les tableaux du Louvre, Paris, Louvre éditions/ Somogy, 2015, p. 120-125, coul., n° 11
- Milovanovic, Nicolas, Nicolas Poussin: les Quatre saisons, Paris, Somogy/ Louvre éditions, (Solo, 60), 2013, p. 7, p. 39, n° 11
- Compin, Isabelle ; Roquebert, Anne, Catalogue sommaire illustré des peintures du musée du Louvre et du musée d'Orsay. IV. Ecole française, L-Z, Paris, R.M.N., 1986, p. 144, ill. n&b
- Compin, Isabelle ; Reynaud, Nicole ; Rosenberg, Pierre, Musée du Louvre. Catalogue illustré des peintures. Ecole française. XVIIe et XVIIIe siècles : II, M-Z, Paris, Musées nationaux, 1974, p. 54, 211, fig. 658, n° 658
- Compin, Isabelle ; Reynaud, Nicole, Catalogue des peintures du musée du Louvre. I, Ecole française, Paris, R.M.N., 1972, p. 302
- Brière, Gaston, Musée national du Louvre. Catalogue des peintures exposées dans les galeries. I.Ecole française, Paris, Musées nationaux, 1924, p. 207, n° 726
- Rosenberg, Pierre, « Poussin and God », The Burlington Magazine, 157, 1349, 2015, août, p. 561-563, p. 562
- Loire, Stéphane, « Le Salon de 1673 », Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français, (1992) 1993, p. 31-68, p. 51
Expositions
- Poussin et Dieu, Napoléon, Exposition Temporaire sous pyramide, 30/03/2015 - 29/06/2015
- Du classique au moderne, 300 ans de peinture Française, Taïpeh (Taïwan Province de Chine), Musée d'Art Ancien, 11/11/2001 - 20/02/2002
- Poussin, Londres (Royaume Uni), Royal Academy of Arts, 19/01/1995 - 13/04/1995, étape d'une exposition itinérante
- Poussin, Paris (France), Galeries nationales du Grand Palais, 27/09/1994 - 02/01/1995, étape d'une exposition itinérante
- Louis XIV, le roi soleil, Washington (Etats-Unis), Corcoran Gallery of Art, 15/12/1984 - 07/04/1985, étape d'une exposition itinérante
- Louis XIV, le roi soleil, New Orleans (Etats-Unis), Louisiana State Museum, 29/04/1984 - 18/11/1984, étape d'une exposition itinérante
Dernière mise à jour le 30.03.2022
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
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