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L'invention de la Vraie Croix par sainte Hélène
1700 / 1800 (XVIIIe siècle)
RF 2002 2
Département des Peintures
Actuellement visible au Louvre
Salle 864
Aile Richelieu, Niveau 2
Numéro d’inventaire
Numéro principal : RF 2002 2
Collection
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
description
Dénomination / Titre
Titre : L'invention de la Vraie Croix par sainte Hélène
Ancien titre : Sainte Hélène
Ancien titre : Sainte Hélène
Description / Décor
Accompagnée de l’évêque de Jérusalem Macarius, Hélène, mère de l’empereur Constantin, retrouve au Golgotha la croix sur laquelle a été crucifié le Christ ; celle-ci avait été jetée et confondue avec les croix des deux larrons. Une femme ressuscite à son seul contact, ce qui permet de distinguer immédiatement la Vraie Croix des deux autres (on en voit une par terre, vers la droite, tandis que la deuxième, à l’arrière-plan, au centre, est emportée au loin).
Inscriptions
Inscription :
Au revers inscription sur le châssis "Kaiserin Helena Guilini pars V. 18 August"
Bas gauche: A:18 (abréviation de Auguste 18, soit 18 août)
Au revers inscription sur le châssis "Kaiserin Helena Guilini pars V. 18 August"
Bas gauche: A:18 (abréviation de Auguste 18, soit 18 août)
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Hauteur : 0,32 m ; Hauteur avec accessoire : 0,43 m ; Largeur : 0,215 m ; Largeur avec accessoire : 0,33 m
Matière et technique
toile
Lieux et dates
Date de création / fabrication
XVIIIe siècle (1700 - 1800)
Données historiques
Historique de l'œuvre
Modello préparatoire à la gravure (par Jeremias Wachsmuth) illustrant le jour de la fête de Sainte- Hélène (18 août) dans le calendrier des saints de Joseph Giulini (Tägliche Erbauung eines wahren Christen, soit : L’édification quotidienne d’un vrai chrétien) publié à Augsbourg et Vienne en 1753-1755.
Commandé vers 1754 à Baumgartner, ainsi que 286 autres esquisses destinées à être gravées dans le calendrier Giulini, par la Société des Arts libéraux et des Sciences d’Augsbourg ; exposé avec les autres esquisses peintes à l’Académie impériale d’Augsbourg (qui avait succédé à la Société des Arts libéraux) à laquelle appartenait l’ensemble, 1756 (cf. Matsche-von Wicht [1977], p. 160 note 82, p. 179 document XIV). – Coll. Förster, professeur, Augsbourg, 1964 (comm. écrite du
Dr Gode Krämer, 15 V 2002, Bushart ne donnant pas le nom de la coll. part.) ; sa vente, Munich, Neumeister, 12 IX 1979, n° 1269. – Coll. part., Allemagne (un libraire du Sud de l’Allemagne, selon Volker Wurster, de la galerie Neuse, comm. orale, 13 V 2002) ; compris dans la vente d’un ensemble de 19 esquisses baroques germaniques de cette coll. (voir aussi Troger, R.F. 2001-3 et R.F. 2001-4), Vienne, Dorotheum, 30 III 2000, le R.F. 2002-2 figurant au n° 306 ; acquis par la
galerie Neuse, Brême ; exposé à la galerie Aveline, Paris (cat. exp., 16-24 XI 2001, n° 14) ; présenté à la foire de Maastricht dans le stand de la galerie Neuse, mars 2002 ; acquis de cette dernière grâce au mécénat de la compagnie de Saint-Gobain, 2002.
Commandé vers 1754 à Baumgartner, ainsi que 286 autres esquisses destinées à être gravées dans le calendrier Giulini, par la Société des Arts libéraux et des Sciences d’Augsbourg ; exposé avec les autres esquisses peintes à l’Académie impériale d’Augsbourg (qui avait succédé à la Société des Arts libéraux) à laquelle appartenait l’ensemble, 1756 (cf. Matsche-von Wicht [1977], p. 160 note 82, p. 179 document XIV). – Coll. Förster, professeur, Augsbourg, 1964 (comm. écrite du
Dr Gode Krämer, 15 V 2002, Bushart ne donnant pas le nom de la coll. part.) ; sa vente, Munich, Neumeister, 12 IX 1979, n° 1269. – Coll. part., Allemagne (un libraire du Sud de l’Allemagne, selon Volker Wurster, de la galerie Neuse, comm. orale, 13 V 2002) ; compris dans la vente d’un ensemble de 19 esquisses baroques germaniques de cette coll. (voir aussi Troger, R.F. 2001-3 et R.F. 2001-4), Vienne, Dorotheum, 30 III 2000, le R.F. 2002-2 figurant au n° 306 ; acquis par la
galerie Neuse, Brême ; exposé à la galerie Aveline, Paris (cat. exp., 16-24 XI 2001, n° 14) ; présenté à la foire de Maastricht dans le stand de la galerie Neuse, mars 2002 ; acquis de cette dernière grâce au mécénat de la compagnie de Saint-Gobain, 2002.
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Galerie Neuse, Antiquaire / Marchand d'art ; Vendeur
Mode d’acquisition
mécénat d'entreprise
Date d’acquisition
date : 2002
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Peintures
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
Richelieu, [Peint] Salle 864 - Allemagne, Autriche
Index
Mode d'acquisition
Bibliographie
- Foucart-Walter, Élisabeth, « Ecole germanique », dans Foucart-Walter, Élisabeth (dir.), Catalogue des peintures britanniques, espagnoles, germaniques, scandinaves et diverses du musée du Louvre, [Musée du Louvre, Département des peintures], Paris, Louvre éditions / Gallimard, 2013, p. 105-158, p. 140, ill. n&b
- Cuzin, Jean-Pierre ; Allard, Sébastien (dir.), Musée du Louvre. Nouvelles acquisitions du département des Peintures. 1996-2001, Paris, R.M.N., 2002, p. 39
- Matsche - von Wicht, Betka, Franz Sigrist 1727-1803, Ulm, Anton H. Konrad Verlag, 1977, p. 160, 179
- Bushart, Bruno, « Die deutsche Ölskizze des 18. Jahrhunderts als autonomes Kunstwerk », Münchner Jahrbuch der bildenden Kunst, XV, 1964, p.145-176, p. 174, note 42
Dernière mise à jour le 25.07.2023
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
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