Numéro d’inventaire
Numéro principal : E 20192
Numéro d'entrée : MG 2693
Numéro d'entrée : MG 2693
Collection
description
Dénomination / Titre
Dénomination : masque de momie
Description / Décor
femme (chignon, boucles d'oreille)
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Longueur : 32 cm ; Largeur : 18,5 cm ; Profondeur : 23,5 cm
Matière et technique
Matériau : stuc
Matériau secondaire : verre (plaque de verre qui recouvre les yeux. Peintes sur l'extérieur pour délimiter le pourtour de l'iris.)
Technique : peinture (Restes de rose pour les carnations, rouge foncé pour le lèvres, noir pour les cheveux)
Matériau secondaire : verre (plaque de verre qui recouvre les yeux. Peintes sur l'extérieur pour délimiter le pourtour de l'iris.)
Technique : peinture (Restes de rose pour les carnations, rouge foncé pour le lèvres, noir pour les cheveux)
Lieux et dates
Date de création / fabrication
Haut Empire (attribution d'après style) (100 - 199)
Lieu de découverte
Akhmîm (Haute Égypte->Égypte->Afrique du Nord) (d'après vendeur)
Données historiques
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Musée Guimet, Ancien affectataire
Mode d’acquisition
attribué au Louvre
Date d’acquisition
date d'affectation : 1948
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Antiquités égyptiennes
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
non exposé
Index
Mode d'acquisition
Dénomination
Technique
Description / Décor
Période
Lieux
Bibliographie
- Müller, Asja, Ägyptens schöne Gesichter : die Mumienmasken der römischen Kaiserzeit und ihre Funktion im Totenritual, Wiesbaden, Reichert Verlag, 2021, p. 285, 289, 290, 293, 303, 306-307, 322
- Aubert, Marie-France ; Cortopassi, Roberta, Portraits funéraires de l'Egypte romaine, 1, Masques en stuc, [Musée du Louvre. Département des Antiquités égyptiennes], Paris, Réunion des musées nationaux, 2004, p. 12, 21, 28, 212, ill. p. 212, H 3
Dernière mise à jour le 22.04.2024
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances