Télécharger
Suivant
Précédent

chevalière à chaton plat ; bague à chaton ovale

-1316 / -1295 (Horemheb)
E 18630 ; MG 1121 ; EG 2754
Département des Antiquités égyptiennes
Numéro d’inventaire
Numéro principal : E 18630
Numéro d'entrée : MG 1121
N° anc. coll. : EG 2754

description

Dénomination / Titre
Dénomination : chevalière à chaton plat ; bague à chaton ovale
Description / Décor
Décor : hiéroglyphes
Inscriptions
Écriture :
hiéroglyphique
Nature du texte :
nom de naissance
Noms et titres
Horemheb ; Amon

Caractéristiques matérielles

Dimensions
Diamètre : 1,6 cm
Matière et technique
Matériau : faïence siliceuse
Couleur : bleu

Lieux et dates

Date de création / fabrication
Horemheb (mention de personnage) (-1316 - -1295)

Données historiques

Historique de l'œuvre
Acheté par E. Guimet à R. Weill en 1912.
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Musée Guimet, Ancien affectataire
M. Guimet, Émile Étienne, Collectionneur
M. Weill, Raymond Charles Isaac, Fouilleur/Archéologue ; Collectionneur
Mode d’acquisition
attribué au Louvre
Date d’acquisition
date d'affectation : 1948
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Antiquités égyptiennes

Localisation de l'œuvre

Emplacement actuel
non exposé

Index

Mode d'acquisition
Matériaux
Description / Décor
Noms et titres
Période
Nature du texte
Écriture

Bibliographie

- Jaeger, Bertrand, « Les scarabées à noms royaux de la XVIIIe dynastie. Travaux préliminaires en vue d'un corpus (IX) », Göttinger Miszellen (GM), 86, 1985, p. 69-79, p. 71, n° 183
- Weill, Raymond, Catalogue sommaire des antiquités égyptiennes exposées au Musée Guimet : provenant de l'expédition de M. Raymond Weill, campagne de 1912, Paris, Librairie nouvelle de droit et de jurisprudence, 1912, p. 76, A 154

Expositions

- Antiquités égyptiennes exposées au Musée Guimet provenant de l'expédition de M. Raymond Weill (campagne de 1912), Paris (Externe, France), Musée national des Arts asiatiques - Guimet, 01/01/1912
Dernière mise à jour le 15.10.2023
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances