serviteur funéraire, image 1/5
serviteur funéraire, image 2/5
serviteur funéraire, image 3/5
serviteur funéraire, image 4/5
serviteur funéraire, image 5/5
serviteur funéraire, image 1/5
serviteur funéraire, image 2/5
serviteur funéraire, image 3/5
serviteur funéraire, image 4/5
serviteur funéraire, image 5/5
Télécharger
Suivant
Précédent

serviteur funéraire

-1295 / -1069 (époque ramesside)
N 2935 ; Champollion Q. 206 ; Durand n°47
Département des Antiquités égyptiennes
Numéro d’inventaire
Numéro principal : N 2935
Numéro catalogue : Champollion Q. 206
N° anc. coll. : Durand n°47

description

Dénomination / Titre
Dénomination : serviteur funéraire
Description / Décor
homme (perruque à revers)

Décor : oiseau-ba (ailes déployées) (sur la poitrine)
Inscriptions
Écriture :
hiéroglyphique
Nature du texte :
formule des ouchebtis
Noms et titres
Ouserhat

Caractéristiques matérielles

Dimensions
Hauteur : 18,3 cm ; Largeur : 6,4 cm ; Profondeur : 4,4 cm
Matière et technique
Matériau : calcaire
Technique : peinture
Couleur : noir

Lieux et dates

Date de création / fabrication
époque ramesside (attribution d'après style) (-1295 - -1069)

Données historiques

Date d’acquisition
date d'arrivée au Musée : 1827 (au plus tard)
date de l'inscription sur l'inventaire : 16/02/1857 (au plus tard)
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Antiquités égyptiennes

Localisation de l'œuvre

Emplacement actuel
non exposé

Bibliographie

- Guichard, Sylvie (dir.), Champollion, Jean-François, Notice descriptive des monuments égyptiens du Musée Charles X, Paris, Louvre éditions / éditions Khéops, 2013, p. 276, ill. p. 276, Q. 206
- Chaouabtis, des travailleurs pharaoniques pour l’éternité, cat. exp. (Paris, Musée du Louvre, 2003), Paris, Éditions de la Réunion des musées nationaux, 2003, p. 88, n° 159
- Champollion, Jean-François, Notice descriptive des monumens égyptiens du Musée Charles X, Paris, Imprimerie de Crapelet, 1827, p. 136, Q. 206
Dernière mise à jour le 28.02.2024
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances