Numéro d’inventaire
Numéro principal : E 11094 BIS
Collection
description
Dénomination / Titre
Dénomination : incrustation ; miroir (?, élément de)
Description / Décor
percé
Décor : griffon (?, sur, taureau) ; patte (?) (esquisse de patte au verso)
Décor : griffon (?, sur, taureau) ; patte (?) (esquisse de patte au verso)
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Hauteur : 9,2 cm ; Largeur : 4 cm
Matière et technique
Matériau : ivoire (?)
Technique : bas-relief saillant
Technique : bas-relief saillant
Lieux et dates
Date de création / fabrication
Nouvel Empire (?) ; Troisième Période intermédiaire (attribution d'après style) (-1550 - -664)
Lieu de création / fabrication / exécution
Grèce (Europe) (?) (Mycènes ?)
Données historiques
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Durighello, Jacques Joseph Antoine, dit aussi Joseph-Ange, Vendeur
Mode d’acquisition
achat
Date d’acquisition
date de l'inscription sur l'inventaire : 1905
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Antiquités égyptiennes
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
non exposé
Index
Mode d'acquisition
Dénomination
Matériaux
Technique
Description / Décor
patte - partie du corps - termes de position - sur - taureau - bovin - animal hybride - animal - griffon - compléments descriptifs - percé
Bibliographie
- Caubet, Annie ; Gaborit-Chopin, Danielle (dir.), Ivoires : De l'Orient ancien aux temps modernes, cat. exp. (Paris, Musée du Louvre, 23 juin-30 août 2004), Paris, Réunion des musées nationaux, 2004, p. 56, p. 51
- Poursat, Jean-Claude, Les ivoires mycéniens : essai sur la formation d'un art mycénien, Paris, De Boccard, (Bibliothèque des écoles françaises d'Athènes et de Rome, 230), 1977, p. 146, pl. XIX, 4
- Decamps de Mertzenfeld, Christiane, Inventaire commenté des Ivoires phéniciens et apparentés, découverts dans le Proche-Orient, Paris, De Boccard, 1954, n° 1073
Dernière mise à jour le 29.03.2023
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
