Numéro d’inventaire
Numéro principal : OA 10245
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
Fauveau, Jacques
Orfèvre
description
Dénomination / Titre
Titre : Tasse transformée en biberon de malade
Type d'objet
orfèvrerie, argenterie ; biberon
Description / Décor
Biberon de malade en forme de tasse à piédouche fermée par un demi couvercle. D'un côté l'anse avec appui-pouce en coquille, de l'autre, le bec verseur allongé. Sur la panse gravure d'une croix de Saint André en médaillon.
Inscriptions
Inscription :
Croix de saint André dans un ovale
Poinçon :
Maître : Jacques Fauveau ; Charge de la ville de Troyes à partir de 1723 : V surmonté d'une fleur de lys répété trois fois.
Croix de saint André dans un ovale
Poinçon :
Maître : Jacques Fauveau ; Charge de la ville de Troyes à partir de 1723 : V surmonté d'une fleur de lys répété trois fois.
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Hauteur : 5,5 cm ; Longueur : 19 cm ; Profondeur : 10,5 cm
Matière et technique
Technique : techniques métal (orfèvrerie)
Matériau : argent
Matériau : argent
Lieux et dates
Date de création / fabrication
vers 1725 - 1740
Lieu de création / fabrication / exécution
Troyes (Champagne-Ardenne = Champagne Ardenne->Aube)
Données historiques
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Pageot, Alfred, Antiquaire / Marchand d'art
Mode d’acquisition
achat
Date d’acquisition
date : 1964
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Objets d'art du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
non exposé
Index
Bibliographie
- Bimbenet-Privat, Michèle ; Doux, Florian ; Gougeon, Catherine, Orfèvrerie de la Renaissance et des Temps Modernes XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. La collection du Musée du Louvre, 3 vol., [Paris, musée du Louvre, département des Objets d'art], Plérin, éditions Faton, 2022, p. 297, fig. p. 297, n° 464 (vol. 3)
Dernière mise à jour le 20.09.2024
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
