Télécharger
Suivant
Précédent
Châtelaine en or, laiton doré, ivoire et cristal de roche
1800 / 1900 (XIXe siècle)
OA 8623
Département des Objets d'art du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes
Numéro d’inventaire
Numéro principal : OA 8623
description
Dénomination / Titre
Titre : Châtelaine en or, laiton doré, ivoire et cristal de roche
Type d'objet
orfèvrerie, argenterie
Description / Décor
1 plaque ajourée, 3 pendeloques : 1 clef, 1 cachet, 1 tête de mort
Caractéristiques matérielles
Matière et technique
Matériau/Technique : or, laiton doré, ivoire et cristal de roche
Matériau : or
Matériau : laiton
Technique : doré = dorure (techniques métal)
Matériau : ivoire = dent
Matériau : cristal de roche
Technique : techniques métal (orfèvrerie)
Matériau : or
Matériau : laiton
Technique : doré = dorure (techniques métal)
Matériau : ivoire = dent
Matériau : cristal de roche
Technique : techniques métal (orfèvrerie)
Lieux et dates
Date de création / fabrication
1800 - 1900
Données historiques
Historique de l'œuvre
collection Jules-René Olivier (1855-1933), horloger-collectionneur ; legs de sa sœur Marie-Julie Olivier ; comité du 24 janvier 1935 ; conseil du 5 février 1935 ; décret du 4 août 1935 ; déposée au musée des Arts décoratifs le 4 novembre 1935 ; retour au musée du Louvre, arrêté du 5 février 1982.
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Mode d’acquisition
legs
Date d’acquisition
date de comité/commission : 24/01/1935
date du conseil : 05/02/1935
date du décret : 04/08/1935
date du conseil : 05/02/1935
date du décret : 04/08/1935
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Objets d'art du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
non exposé
Index
Mode d'acquisition
- Cardinal, Catherine, Les montres du Musée du Louvre, Tome 1, [Collection Olivier], Paris, RMN, 1984, n° 339
Dernière mise à jour le 17.05.2024
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances