Télécharger
Suivant
Précédent
Râpe à tabac : Buveur
1700 / 1715 (Début du XVIIIe siècle)
OAR 418
Département des Objets d'art du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes
Œuvre récupérée à la fin de la Seconde Guerre mondiale, déposée par l'office des biens privés ; en attente de sa restitution à ses légitimes propriétaires. Consulter la base de données ministérielle Rose Valland consacrée aux œuvres dites MNR (Musées nationaux récupération).
Numéro d’inventaire
Numéro principal : OAR 418
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
Anonyme
Ivoirier
description
Dénomination / Titre
Titre : Râpe à tabac : Buveur
Type d'objet
râpe à tabac
Description / Décor
la râpe est ornée d'un buveur marchant vers la gauche, la tête couverte d'un rand chapeau et tournée vers la droite; il tient de la main gauche une carafe, de la main droite, un verre ; à la partie inférieure, une coquille.
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Hauteur : 1,22 cm ; Largeur : 3,4 cm ; Epaisseur : 0,8 cm
Matière et technique
Matériau : ivoire = dent
Lieux et dates
Date de création / fabrication
1700 - 1715
Données historiques
Historique de l'œuvre
provient du dépôt de Einsatzstab Reichsleiter Rosenberg à l'abbaye de Buxheim et considéré comme "spoliation supposée" ; remis à la France le 4 mars 1946 ; transmis au Louvre par l'Office des biens privés par arrêté du 13 août 1951 ; déposé au château de Compiègne de 1952 à 1969.
Mode d’acquisition
attribution par l'office des biens et intérêts privés (MNR)
Date d’acquisition
date de l'arrêté : 13/08/1951 (d'attribution)
Propriétaire
Musées Nationaux Récupération
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
non exposé
Index
Mode d'acquisition
Type
- Malgouyres, Philippe, Ivoires de la Renaissance et des Temps modernes. La collection du Musée du Louvre, Paris, Musée du Louvre ; Editions Gourcuff Gradenigo, 2010, p. 192, ill. p. 192, n°138
Dernière mise à jour le 22.03.2024
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances