Numéro d’inventaire
Numéro principal : RF 1256 E
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
description
Dénomination / Titre
Titre : Fragment architectural sculpté sur quatre faces, décoré de moulures et de petits pinacles
Type d'objet
fragment architectural
Description / Décor
Caractéristiques matérielles
Dimensions
Hauteur : 0,19 m ; Largeur : 0,11 m ; Profondeur : 0,105 m ; Poids : 2 kg
Matière et technique
pierre traces de polychromie doré=dorure
Lieux et dates
Date de création / fabrication
1240 - 1260
Lieu de provenance
abbaye (France->Saint-Denis)
Données historiques
Historique de l'œuvre
Provient de l’église abbatiale bénédictine de Saint-Denis. Pourrait avoir appartenu au décor d’un ou de plusieurs des dais abritant des châsses, érigés derrière les autels des chapelles rayonnantes. Disposition connue des dessins de l’architecte Charles Percier executés avant la Révolution et conservés au musée Vivenel à Compiègne. Disposition reprise lors des restaurations et réfections du XIXe siècle. Abbaye devenue bien national à la Révolution. Église affectée au culte paroissial, saccagée en août 1793, utilisée comme Temple de la Raison de novembre 1793 à avril 1794, laissée ensuite à l’abandon. Dais détruits. Certains débris auraient été retrouvés par l’architecte françois Debret au XIXe siècle.Versement des Chantiers de Saint-Denis, 1898-1899.
Mode d’acquisition
versement
Date d’acquisition
date : 1898 (1898-1899)
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Sculptures du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes
Localisation de l'œuvre
Emplacement actuel
non exposé
Index
Mode d'acquisition
Matériaux
Technique
Lieux
Bibliographie
- Baron, Françoise, Musée du Louvre - Sculpture française - I - Moyen Age, Paris, 1996, p. 90
- Formigé, Jules, L'abbaye royale de Saint-Denis. Recherches nouvelles, Paris, 1960, p. 123, 137, 138, 140 et 146
Dernière mise à jour le 09.07.2019
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances