Télécharger
Suivant
Précédent

Domine quo vadis ?

INV 1351, Recto
Département des Arts graphiques
Numéro d’inventaire
INV 1351, Recto
Anciens numéros d'inventaire :
NIII 999
MA 975
Numéros de catalogues :
Inventaire italien, t. IV R 438
Référence de l'inventaire manuscrit :
vol.1, p.211
Collection
Département des Arts graphiques
Cabinet des dessins
Fonds des dessins et miniatures
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
Morandi, Giovanni Maria (1622-1717)
Ecole florentine
(Monbeig Goguel, Catherine, 1981)

Anciennes attributions :
ANONYME ITALIEN
(Reiset, Frédéric (inv. ms))
Morandi, Giovanni Maria (1622-1717)
(Dezallier d'Argenville, Antoine-Jospeh)
Morandi, Giovanni Maria (1622-1717)
(Bourgevin Vialart de Saint-Morys, Charles Paul Jean-Baptiste)
Morandi, Giovanni Maria (1622-1717)
(Morel d'Arleux, Louis-Marie-Joseph (inv. ms))

description

Dénomination / Titre
Domine quo vadis ?
Description / Décor
Commentaire :
L'ancienne attribution de la feuille à Giovanni Maria Morandi, acceptée par Morel d'Arleux (Inv. ms) mais refusée par F. Reiset (Inv. ms) qui classa la feuille parmi les dessins des artistes anonymes italiens, a été confirmée par C. Monbeig Goguel (voir cat. exp. Dessins baroques florentins du musée du Louvre, Paris, musée du Louvre, 1981-1982, n° 119 et sous n° 118). Selon cette spécialiste (voir 'Musée du Louvre, Cabinet des Dessins, Inventaire général des Dessins Italiens, IV : Dessins toscans XVIe-XVIIIe siècles, tome II : 1620-1800', Milan, 2005, n° 438), le format en hauteur de la feuille montre qu'il devait s'agir d'un projet de 'pala' d'autel, mais la simplicité de la composition à deux personnages pourrait aussi avoir convenu a un petit cuivre, domaine d'excellence de Morandi.
Voir aussi : J. Labbé, L. Bicart-Sée, 'La collection des dessins d'Antoine Joseph Dezallier d'Argenville', Paris, 1996, n° 489 ; J. Labbé, L. Bicart-Sée, 'La collection Saint-Morys au Cabinet des Dessins du Musée du Louvre (II) : Répertoire des dessins', Paris, 1987, p. 53.

Caractéristiques matérielles

Dimensions
H. 0,301 m ; L. 0,22 m
Matière et technique
Sanguine et lavis de sanguine. Annotations à la plume et à l'encre brune, en bas à gauche : '489' et en bas à droite : 'gio. Morandi' ; Collé sur les quatre bords.

Données historiques

Historique de l'œuvre
P. Crozat ? montage (LBS 066) - A.J. Dezallier d'Argenville, numéro 489 et paraphe (L.2951) en bas à gauche ; annotation à la plume et encre brune en bas à droite : Gio Morandi ; sa vente, Paris, 18 janvier 1779, partie du n° 100 (Gio Maria Morandi) - Ch.-P.-J.-B. de Bourgevin Vialart de Saint-Morys ; écriture à la plume et encre brune sur le montage en bas à gauche: Gio Maria Morandi, école florentine et au verso : N.S. et St. Pierre / à la sanguine - Saisie des biens des Emigrés en 1793, remise au Museum en 1796-1797 ; marques du Conservatoire (L.2207) et du Louvre (L.1886).
Inventaire du musée Napoléon :
Inventaire du Musée Napoléon. Dessins. Vol.1, p.128, chap. : Ecole florentine, carton 7. (...) Numéro : 975. Nom du maître : Idem & Morandi Gio. Maria /&. Numéro d'ordre dans l'oeuvre du maître : 2. Désignation des sujets : Domine quo vadis. Dessin lavé à la sanguine et non terminé. Dimensions : H. 30 x L. 23cm. Origine : Collection nouvelle.Prix de l'estimation de l'objet : 1francs. Emplacement actuel : Idem & Calcographie du Musée Napoléon /&. Observations : Idem & Remis le 27 décembre 1828 pour être relié à l'encre /&. Signe de recollement : Vu au crayon#trait oblique / au crayon / sur le n° d'ordre. Cote : 1DD33
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Dernière provenance : Saint-Morys, Ch.-P.-J.-B. de Bourgevin Vialart de
Date d’acquisition
1793

Localisation de l'œuvre

Emplacement actuel
Petit format

L'œuvre est visible sur rendez-vous en salle de consultation des Arts graphiques.

Expositions

- Dessins baroques florentins : LXXVe exposition du Cabinet des dessins
Etape :
Musée du Louvre, Paris, France - 02 octobre 1981 - 18 janvier 1982
Organisée par : Musée du Louvre (Paris, France)
Dernière mise à jour le 06.09.2021
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances