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Cavaliers espagnols du 15e siècle, qui, à l’aide de dogues de grande race, donnent la chasse à un taureau sauvage

1834 / 1839 (XIXe siècle)
RF 1725
Département des Sculptures du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes
Actuellement visible au Louvre
Salle 226
Aile Richelieu, Niveau 0
Numéro d’inventaire
Numéro principal : RF 1725
Artiste / Auteur / Ecole / Centre artistique
Barye, Antoine Louis (Paris, 1795 - Paris, 1875)
France

description

Dénomination / Titre
Titre : Cavaliers espagnols du 15e siècle, qui, à l’aide de dogues de grande race, donnent la chasse à un taureau sauvage
Titre d'usage : La Chasse au taureau sauvage
Type d'objet
modèle
Description / Décor
Modèle pour un des deux groupes, dit La Chasse au taureau sauvage, placés de part et d'autre du groupe central du surtout de table commandé en 1834 par le duc Ferdinand Philippe d'Orléans (1810-1842).
Inscriptions
Marque de l'atelier :
Sur la terrasse, sur une pastille de cire, un poinçon: "BARYE"

Caractéristiques matérielles

Dimensions
Hauteur : 0,54 m ; Largeur : 0,658 m ; Profondeur : 0,42 m ; Hauteur de l'accessoire : 0,05 m ; Longueur de l'accessoire : 0,72 m ; Profondeur de l'accessoire : 0,4 m ; Poids : 25 kg
Matière et technique
plâtre, cire, métal

Lieux et dates

Date de création / fabrication
1834 - 1839

Données historiques

Historique de l'œuvre
Atelier de Barye, Vente après décès de Barye, 7-12 février 1876, n° 521. Acquis par A. Jacquemart. Paris, collection Barbedienne ; Paris, collection Zoubaloff ; Don Jacques-Michel de Zoubaloff, 1921 (comité du 26 mai, décret du 20 juin 1921).
Détenteur précédent / commanditaire / dédicataire
Barbedienne, Ferdinand, Collectionneur
Jacquemart, Marie Alfred, Jacquemart, Alfred, Collectionneur
Zoubaloff, Jacques-Michel de, Collectionneur ; Donateur
Mode d’acquisition
don
Date d’acquisition
date de comité/commission : 26/05/1921
date du décret : 20/06/1921
Propriétaire
Etat
Affectataire
Musée du Louvre, Département des Sculptures du Moyen Age, de la Renaissance et des temps modernes

Localisation de l'œuvre

Emplacement actuel
Richelieu, [SCULPT] Salle 226 - Antoine-Louis Barye (1796-1875) - Le romantisme en sculpture, Vitrine 12

Bibliographie

- Viguier-Dutheil, Florence ; Deschamps-Tan, Stéphanie ; Fabre, Côme (dir.), Ferdinand-Philippe d'Orléans. Images d'un prince idéal, cat. exp. (Montauban, Musée Ingres-Bourdelle, 18 juin - 24 octobre 2021), Montauban, Paris, Musée Ingres Bourdelle ; Le Passage, 2021, p. 235, p. 236, cat. 93
- Poletti, Michel ; Richarme, Alain, Barye. Catalogue raisonné des sculptures, Paris, Gallimard, 2000, p. 435, CS 87
- Gaborit, Jean-René sous la direction de, Sculpture française II - Renaissance et Temps Modernes, vol. 1 et 2, Paris, Editions de la Réunion des musées nationaux, 1998, p. 49
- La sculpture française au XIXe siècle, Paris, Galeries nationales du Grand-Palais, 1986, 1986, n° 193
- Hubert, Gérard ; Sérullaz, Maurice (dir.), Barye, sculptures, peintures et aquarelles des collections publiques françaises, cat. exp. (Paris, musée du Louvre, octobre 1956 - février 1957), Paris, Editions des musées nationaux, 1956, n° 6
- Le décor de la vie à l'époque romantique 1820-1848, cat. exp. (Paris, Palais du Louvre, Pavillon de Marsan / Musée des Arts décoratifs/ Avril - mai 1930), Paris, impr. Frazier-Soye, 1930, p. 124, n° 928
- Vitry, Paul, Musée national du Louvre. Catalogue des sculptures du Moyen Âge, de la Renaissance et des Temps modernes. Première partie, Moyen Âge et Renaissance ; deuxième partie, Temps modernes, I, Paris, 1922, n° 927
- Catalogue des œuvres d’Antoine-Louis Barye, exposées à L’Ecole des Beaux-arts, cat. exp. (Paris, Ecole des beaux-arts, 1889), Paris, 1889, n° 593
- Catalogue des œuvres d’Antoine-Louis Barye, membre de l'Institut, exposées à L’Ecole des Beaux-arts, cat. exp. (Paris, Ecole des Beaux-arts, 1875), Paris, 1875, n° 150

Expositions

- Ferdinand-Philippe d'Orléans (1810-1842). Images du prince idéal, Montauban (Externe, France), Musée Ingres-Bourdelle, 18/06/2021 - 24/10/2021
Dernière mise à jour le 05.07.2022
Le contenu de cette notice ne reflète pas nécessairement le dernier état des connaissances